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Quand il n'y a plus de plan B... Le vrai début de l'entrepreneuriat

Quand je me suis lancée dans l'aventure de l'entrepreneuriat, je portais le titre de praticienne en Chi Nei Tsang et de coach en développement personnel. J’étais animée par une profonde envie d’accompagner les autres, de contribuer à leur mieux-être, de transmettre ce que j’avais moi-même appris sur le chemin de la guérison.


Et puis, j’avais encore mes droits au chômage. Un petit filet de sécurité qui, je l’avoue, me donnait une certaine tranquillité d’esprit. Je me disais : « C’est bon, je suis lancée ! »


J’avais créé mes réseaux sociaux, partagé quelques posts, imprimé quelques cartes de visite, participé à des salons.


Je pensais que je faisais ce qu’il fallait pour me faire connaître. Je pensais que ça allait prendre. Je pensais que mon cœur, mon authenticité et mes compétences allaient suffire.


Et puis le jour est arrivé. Celui où mes droits se sont arrêtés. Plus de chômage. Plus de filet. Pas de conjoint. Juste moi, seule avec mon fils, face à ma réalité.


Et là, tout a changé.


Je me suis retrouvée face à une évidence : ce que je faisais jusque-là n’était pas suffisant. Pas parce que je n’étais pas bonne dans mon métier. Mais parce que je pensais comme une praticienne bien-être, pas comme une cheffe d’entreprise.


J’avais investi tout mon cœur dans mon métier, mais je n'avais pas encore pris conscience que pratiquer son art et développer une entreprise sont deux rôles très différents. Que, pour vivre de son activité, il ne suffit pas d’être passionnée et compétente. Il faut aussi savoir se vendre, communiquer avec intention, construire une stratégie, gérer ses finances, poser un cadre, prendre des décisions parfois inconfortables. Je m'étais formée à des pratiques complémentaires pour l'accompagnement de mes clients mais je n'avais pas investi dans mes compétences entrepreneuriales.


Et honnêtement ? Revenir au salariat me faisait (me fait même encore) flipper. Je savais au fond de moi que je n’étais pas faite pour ça. Je voulais offrir autre chose à mon fils, et à moi-même. Je voulais vivre librement de ce que j’aime faire, sans sacrifier mes valeurs ni mon équilibre de vie.


Alors j’ai décidé. Ce jour-là, j’ai pris la décision de devenir pleinement cheffe d’entreprise. De ne plus subir, mais de créer. De ne plus espérer, mais de poser des actions concrètes. D’arrêter de me cacher derrière mon métier et de commencer à porter toute ma posture : celle de la femme qui tient la barre de son navire.


Cette prise de conscience a tout changé. J’ai arrêté de “faire au feeling” et j’ai commencé à structurer. J’ai appris à parler à mes clientes idéales, à comprendre leurs besoins, à organiser mes offres, à travailler ma visibilité de manière stratégique, à poser des prix justes et alignés.

Et je ne dis pas que c’est facile tous les jours. Mais aujourd’hui, je sais pourquoi je me lève le matin. Je sais que je peux transmettre, accompagner, et aussi développer une entreprise solide, pérenne, à mon image.


Parce qu’on ne naît pas cheffe d’entreprise. On le devient, par choix, par courage, par engagement.


Et parfois, ça commence quand il n’y a plus de plan B.


Contacte moi si, toi aussi, tu es prêt à devenir chef d'entreprise

 
 
 

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