La peur de l'échec dans l'entrepreneuriat
- Julie Buisson

- 1 juil.
- 2 min de lecture
Se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est partir à l’aventure : une aventure qui te confronte à toi‑même, t’oblige à te dépasser et, surtout, à apprivoiser tes peurs.
Les deux grandes invitées : peur de l’échec & syndrome de l’imposteur
Et si ces deux là n'étaient pas tes ennemis… mais tes enseignants ?
Mais aujourd'hui parlons d'abord de la peur de l'échec chez l'entrepreneur
! (Syndrome de l'imposteur dans un prochain post).
1. Comprendre la peur de l’échec

Toute peur a une origine, souvent tapie dans l’enfance. C’est là que le coaching entre en jeu : identifier la peur et remonter à sa source pour mieux la COMPRENDRE.
Une éducation axée sur la réussite ? Tes parents valorisaient les notes ou la “réussite sociale” parce qu’ils avaient réussi… ou, au contraire, parce qu’ils n’avaient pas eu toutes les cartes en main étant plus jeunes ?
Le perfectionnisme comme bouclier ? Se démarquer, être irréprochable, s’assurer l’amour de ses proches : autant de stratagèmes forgés tôt pour se sentir “assez”.
Des comparaisons familiales ? Être constamment comparé(e) à des frères et sœurs laisse des traces qui se réveillent quand tu crées ton entreprise.
L’objectif n’est pas de pointer du doigt tes proches : ils ont fait de leur mieux avec leurs propres croyances. Ce qui compte aujourd’hui, c’est de te demander : “Cette peur vient‑elle vraiment de moi … ou de la crainte de décevoir quelqu’un ?”
Deux questions clés :
Mes proches m’aimeront‑ils moins si j’échoue ?
Un « échec » est‑il vraiment un échec… ou une expérience ?
2. L’échec, ce maître déguisé
Stephen King a vu son premier roman Carrie refusé 30 fois. Poussé par sa femme, il persévère : le livre paraît et la suite appartient à l’histoire de la littérature.
L’échec est une expérience : il t’enseigne, t’offre une nouvelle vision, de nouvelles connaissances. Fais la liste de tes “ratés” passés ; pour chacun, note la leçon apprise. Et surtout, demande toi si c'était vraiment un échec ?
3. Passer à l’action malgré la peur
Choisis un micro‑objectif (minus, atteignable en 24‑48 h).
Concentre‑toi sur l’action, pas sur le résultat.
Ajuste, célèbre, recommence.
Petit pas après petit pas, tu transformes la peur en alliée et… tu avances.
Et bien entendu, je te propose des accompagnements pour t'aider à identifier ces peurs et comprendre leur origine. Rien n'est figé, tout peut être travaillé, amélioré... avec un peu de volonté !
Contacte moi si tu le souhaites : appel découverte gratuit et sans engagement.
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